Il était une fois… Avonlea

Petit retour dans l’enfance mes Fétiches ! J’avais envie de vous parler aujourd’hui de téléfilms tirés des œuvres d’une fabuleuse écrivaine, Lucy Maud, Montgomery, qui a su nous faire rêver à travers ses récits qui pour la plupart se passent à Avonlea, charmante petite ville de l’île d’Edouard au Canada.

Les Contes d’Avonlea ou Les Enfants d’Avonlea est une série télévisée canadienne en 91 épisodes de 45 minutes, créée par Kevin Sullivan pour Sullivan Films d’après un roman La Conteuse de Lucy Maud Montgomery et diffusée entre le 7 janvier 1990 et le 31 mars 1996 sur le réseau CBC. Sept saisons en découlera.

L’histoire : À Montréal, au début du xxe siècle, l’orpheline Sara Stanley est envoyée par son père, qui est tombé dans de graves problèmes économiques, à ses tantes Hetty et Olivia, dans la petite ville d’Avonlea sur l’Île-du-Prince-Édouard. Si sa vieille et frigide tante Hetty se montre froide et hautaine, c’est en Olivia, la plus jeune sœur que Sarah va trouver une confidente et amie.

Cette mini série est un pur émerveillement avec de la simplicité, de l’authenticité et c’est frais, spontané, un vrai régal pour le moral. C’est un remède imparable contre la morosité, je vous le conseille vivement. Bien évidemment, il faudra que vous soyez attiré par le côté simple à la manière de « la petite maison dans la prairie ».

Je ne peux pas parler de cette série sans parler de la première mini-série apparut sous le nom « le bonheur au bout du chemin ». Anne… la maison aux pignons verts au Québec ou Le Bonheur au bout du chemin en France (Anne of Green Gables) est le premier de trois téléfilms canadiens réalisés par Kevin Sullivan.

Diffusé en deux parties en décembre 1985 sur le réseau CBC, il est tiré du roman Anne… la maison aux pignons verts de Lucy Maud Montgomery publié en 1908.

Anne avec un « e »

Ce premier volet commence lors de l’adoption d’Anne par Marilla et Matthew Cuthbert, frère et sœur habitant la « maison des pignons verts« , et retrace son enfance jusqu’à son entrée dans le monde adulte. Anne trouve en Matthew un grand-père aimant. Si ses débuts avec Marilla sont difficiles, parce qu’en vieille fille elle s’est aigrie, on devine par la suite tout l’amour qu’elle porte à Anne, et qu’elle n’ose pas forcément avouer.

Anne Shirley est à ce moment-là une petite fille rêveuse, passionnée de littérature et de châteaux en marbre rose. Sa rêverie, qui fait d’elle l’être unique et attachant qu’elle est, sera cependant un obstacle à sa vie sentimentale par la suite, puisqu’elle attend de l’amour un idéal a priori trop utopique, sans se douter que ce qui est à sa portée de main, certes moins romanesque, la comblera plus. Anne est une élève brillante. Et Avonlea étant un petit village, tous les personnages de sa génération et les relations qu’elle entretiendra a priori avec eux sont présentés à l’école communale.

Diana devient rapidement la meilleure amie d’Anne. Elle est la fille d’un couple très aisé, mais sa famille accueille Anne avec beaucoup d’amour. Gilbert Blythe, fils du premier amour de Marilla, lui aussi agriculteur, est un jeune garçon brillant, qui, se moquant de la couleur rousse des cheveux d’Anne lors de la rentrée, se retrouve son ennemi et rival scolaire. 

Avec l’arrivée du froid, de la grisaille et de l’ambiance toujours davantage pesante d’une crise sanitaire, je vous invite à vous évader avec ces jolis contes d’Avonlea. Il est possible de trouver ces petites merveilles en coffret DVD à présent.

N’hésitez pas à me donner votre avis sur ces œuvres ! 🙂
A très vite !
(✿◠‿◠)

4 commentaires sur « Il était une fois… Avonlea »

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